Premier livre de ma sélection novembre-décembre sur le thème de la guerre. Je vous laisse découvrir la quatrième de couverture de Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre.
J'avais beaucoup entendu parler de ce roman, mais j'avais attendu un petit moment avant de le lire. Il est exactement comme chacun le décrit. Exceptionnellement fort, bouleversant, surprenant, merveilleusement bien écrit. Ce livre m'a transporté. La jeune Lina est exceptionnelle, elle est d'une force inimaginable. Tout le long du livre elle se bat pour sa famille, pour ses dessins, pour son espoir en la vie. Je n'avais jamais trop bien regardé ces événements en Russie, peut être parce qu'à l'école on ne nous en parle pas assez, peut être parce que nous n'en savons encore que trop peu. En tout cas ce roman nous décrit que trop bien l'horreur vécu par ses hommes, femmes et enfants, dans cette froide partie de la Russie. Lina nous rapporte le récit de sa famille, déchirée par la guerre, déchirée par une Europe détruite.
Le personnage de Lina est absolument impressionnant, mais celui qui m'a le plus "bluffé" c'est Jonas son petit frère. Lors de son arrestation, on en a une description qui semble être celle d'un jeune enfant et au fur et à mesure, on le voit grandir et devenir un jeune homme en seulement deux ans. C'est impressionnant. Le personnage d'Andrius est différent des autres, déjà par son âge, mais également avec ce que font les soviétiques à sa mère.
Je ne vais pas vous en dire plus, je ne veux pas vous gâcher le plaisir de découvrir ce roman, froid, bouleversant et écrit d'une main de maître.
La seule chose qui m'a posé problème (un problème qui en soit n'en est pas vraiment un), c'est que l'on n'en sache pas plus. J'aurais voulu connaître toute l'histoire de cette famille, connaître la fin de leur calvaire, connaître leur retour au pays, les retrouvailles de Lina et Andrius.
Ce livre me pousse à aller dans ma bibliothèque universitaire et chercher à en savoir plus. Merci.
Une nuit de juin 1941, Lina Vilkas, une jeune lituanienne de quinze ans, est arrêtée par la police secrète du régime stalinien.Avec sa mère et son petit frère, Jonas, ils sont déportés en Sibérie. Là, logés dans des huttes, sous-alimentés, brutalisés et harcelés par les Soviets, Lina et les siens tiennent bon. Soutenue par une mère exemplaire, et par sa volonté de témoigner de cet enfer blanc à travers ses dessins et ses écrits, elle tente de survivre au froid, à la maladie, à l’humiliation, et au travail éreintant de la terre. Dans le camp, Andrius, un jeune déporté de dix-sept ans, affiche la même combativité qu’elle...
J'avais beaucoup entendu parler de ce roman, mais j'avais attendu un petit moment avant de le lire. Il est exactement comme chacun le décrit. Exceptionnellement fort, bouleversant, surprenant, merveilleusement bien écrit. Ce livre m'a transporté. La jeune Lina est exceptionnelle, elle est d'une force inimaginable. Tout le long du livre elle se bat pour sa famille, pour ses dessins, pour son espoir en la vie. Je n'avais jamais trop bien regardé ces événements en Russie, peut être parce qu'à l'école on ne nous en parle pas assez, peut être parce que nous n'en savons encore que trop peu. En tout cas ce roman nous décrit que trop bien l'horreur vécu par ses hommes, femmes et enfants, dans cette froide partie de la Russie. Lina nous rapporte le récit de sa famille, déchirée par la guerre, déchirée par une Europe détruite.
Le personnage de Lina est absolument impressionnant, mais celui qui m'a le plus "bluffé" c'est Jonas son petit frère. Lors de son arrestation, on en a une description qui semble être celle d'un jeune enfant et au fur et à mesure, on le voit grandir et devenir un jeune homme en seulement deux ans. C'est impressionnant. Le personnage d'Andrius est différent des autres, déjà par son âge, mais également avec ce que font les soviétiques à sa mère.
Je ne vais pas vous en dire plus, je ne veux pas vous gâcher le plaisir de découvrir ce roman, froid, bouleversant et écrit d'une main de maître.
La seule chose qui m'a posé problème (un problème qui en soit n'en est pas vraiment un), c'est que l'on n'en sache pas plus. J'aurais voulu connaître toute l'histoire de cette famille, connaître la fin de leur calvaire, connaître leur retour au pays, les retrouvailles de Lina et Andrius.
Ce livre me pousse à aller dans ma bibliothèque universitaire et chercher à en savoir plus. Merci.
J'ai lu Big Easy de cette auteure, je l'avais adoré, il faudrait que je lise un autre roman d'elle, pourquoi pas celui-ci!
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