Ce n'est pas nouveau, j'adore l'Histoire. Et lors de la foire du livre de Brive, j'ai eu la chance de rencontrer Orianne Charpentier et de discuter avec elle de fiction historique. Son roman La vie au bout des doigts est une perle de fiction historique. Dès les première page on découvre une jeune fille, Guenièvre, encore une enfant face à son adolescence, déboussolée par son histoire familiale. Pour être honnête, au début j'ai eu du mal a trouver ma place face à elle. Comprendre son histoire, qui elle est, pourquoi elle est comme ça et surtout pourquoi elle est là. Mais ce qui est certain c'est que nous rencontrons tout d'abord une enfant, naïve mais indépendante qui dévore les ouvrages de Guillaume Apollinaire, nous la quittons femme, forte et différente de celle qu'elle était.
Découvrir la guerre au fur et à mesure que Genièvre la découvre; la voir grandir, devenir une femme, évoluer dans un monde qui n'était le sien, c'est ça que j'ai trouvé fabuleux. Comment cette guerre change les femmes, change leurs habitudes, change la façon d'envisager l'avenir. Mais le petit plus, évidement, c'est ce don que possède la Henriette, la grand mère de Guenièvre, ce don qu'elle lui transmet. C'est cet aspect qui rend se livre différent des autres, la façon dont elle utilise son don pour sauver les autres, cette bienveillance qu'elle a pour les autres, cet amour qui grandit doucement au fur et à mesure de la guerre... C'est un beau roman, avec des notes d'humour, une petite dédicace à Harry Potter (si je vous dis que le nom de la grand mère c'est Henriette Potier ?), une autres aux hommes sur la lune et d'autres petites piques historiques.
Ce roman nous permet d'appréhender la Première Guerre Mondiale différemment, d'en comprendre le fonctionnement, les rouages et les difficultés. Tout en gardant un aspect fictionnel fort, le roman nous transporte dans cette période sombre de l'Histoire de France.
Pour les amoureux des fictions historiques, à partir de 12/13 ans.
Novembre 1943. Après plusieurs année de pensionnat, Guenièvre, quatorze ans, est une jeune fille rejetée et mal dans sa peau. Certains la traitent de sorcière... Seule l'amitié de Pauline, qui l'ouvre aux réalités de son époque, illumine son existence. Un jour, elle est recueillie par sa grand-mère et apprend la vie à la campagne dans un vieux manoir en ruine mais entourée aussi de l'affection de Perpétue, la fidèle cuisinière, et du bel Edmond, bientôt mobilisé. La Belle Époque bascule alors dans la Grande Guerre et la vie de chacun, hommes, femmes, enfants, s'en trouve bouleversée. Guenièvre devra se battre, elle aussi, à l'arrière, pour survivre au quotidien, percer le secret de sa famille et se découvrir elle-même...
Découvrir la guerre au fur et à mesure que Genièvre la découvre; la voir grandir, devenir une femme, évoluer dans un monde qui n'était le sien, c'est ça que j'ai trouvé fabuleux. Comment cette guerre change les femmes, change leurs habitudes, change la façon d'envisager l'avenir. Mais le petit plus, évidement, c'est ce don que possède la Henriette, la grand mère de Guenièvre, ce don qu'elle lui transmet. C'est cet aspect qui rend se livre différent des autres, la façon dont elle utilise son don pour sauver les autres, cette bienveillance qu'elle a pour les autres, cet amour qui grandit doucement au fur et à mesure de la guerre... C'est un beau roman, avec des notes d'humour, une petite dédicace à Harry Potter (si je vous dis que le nom de la grand mère c'est Henriette Potier ?), une autres aux hommes sur la lune et d'autres petites piques historiques.
Ce roman nous permet d'appréhender la Première Guerre Mondiale différemment, d'en comprendre le fonctionnement, les rouages et les difficultés. Tout en gardant un aspect fictionnel fort, le roman nous transporte dans cette période sombre de l'Histoire de France.
Pour les amoureux des fictions historiques, à partir de 12/13 ans.
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