Je reprends la main du blog avec un trailler adolescent de Manon Fargetton, Le suivant sur la liste. Ayant eu quelques difficultés à avoir du temps pour moi et pour la lecture, j’ai pris la décision de ne plus me prendre la tête face à mes lectures, plus de contraintes, simplement du plaisir. Ce roman est arrivé entre mes mains par le plus grand des hasards, lors du salon du livre Lire à Limoges. Je me baladais dans les allées avec ma maman en étudiant du coin de l’œil les romans à ma droite. Et sans vous dire pourquoi, celui-ci a attiré mon attention. Le suivant sur la liste est en réalité fait de deux tomes, je me suis offert l’intégrale, espérant découvrir un monde qui me dépayserait de tout ce quotidien parfois étouffant.
Depuis l’arrêt non-officiel du blog, j’ai énormément lu de romans historiques, me penchant particulièrement sur le terrorisme (petit poke à Vincent Villeminot dont je dois quand même absolument vous parler). Je m’égard de ma ligne conductrice ! Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos mutants. Parce que oui ! Avant toute chose, le roman de Manon nous embarque dans une aventure digne des X-men, digne d’un véritable Marvel ! Malgré tout ne vous attendez pas à rencontrer l’adorable professeur Xavier dans ce roman. Nous découvrons en premier le jeune Nathan, 14 ans, petit génie de l’informatique, qui est absorbé par une de ses découvertes majeures sur le net, une découverte qu’il a fait en hackant (je ne sais pas réellement si ce mot existe, vos avis ?) le service de psychiatrie où son cousin est interné. On tombe très vite de haut, l’auteure nous abat ses cartes dès les premières pages en nous sortant le grand jeu, et là, je ne peux pas vous en dire bien plus ! Toujours en est-il que c’est remarquablement tourné ! Nous finissons donc par découvrir que notre petite troupe de personnages principaux ne sont pas des enfants singuliers. Chacun possède une petite particularité qui les met en danger. Morgane, Izia, Samuel et Timothée, tout en ayant leur acolyte perpétuel, Nathan.
L’auteure nous met en haleine sans pour autant nous en dévoiler trop dès le début. Tout au long de la première partie de l’intégrale (qui est donc en réalité le premier tome) nous avons surprises sur surprises et l’épisode final met un point d’honneur à nous déstabiliser ! Le second tome est différent, trois ans après, les protagonistes ont 17 ans, ils se trouvent tous dispatché dans la France, l’une à Paris, l’autre à Bordeaux, certains dans des endroits dont nous ne connaissons pas le lieu. Il y a un grand mystère autour du financement des expériences faites sur les « enfants mutants », ils sont connus du grand public, une émission de « télé-réalité » diffuse leurs portraits mais très vite les protagonistes sont appelés à se rassembler.
Il y a tout de même un point qui me chiffonne, la maman de Morgane est un élément presque central et incontournable du premier tome, on se pose énormément de questions autour d’elle. Et là, elle est inexistante au second tome, nous n’avons pas la suite logique (sauf si j’ai loupé un épisode, c’est le souci de lire la nuit, mais quand même !). Du coup c’est le seul petit point sombre à mes yeux.
Izia bifurqua dans la rue du collège. Elle consulta sa montre. Parfait. Izia collectionnait les mots sur son carnets de liaison et se faisait un devoir de ne jamais arriver à l'heure. Elle leva un sourcil étonné en apercevant Nathan qui déboulait sur son vélo à l'autre bout de la rue. Elle s'apprêtait à traverser en snobant le passage clouté lorsqu'une Mercedes aux vitres teintées surgit du carrefour. Trop vite. Beaucoup trop vite. Elle distingue sans peine le regard déterminé du conducteur qui enfonçait la pédale d'accélérateur. La voiture était déjà sur Nathan. Elle cria.
Depuis l’arrêt non-officiel du blog, j’ai énormément lu de romans historiques, me penchant particulièrement sur le terrorisme (petit poke à Vincent Villeminot dont je dois quand même absolument vous parler). Je m’égard de ma ligne conductrice ! Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos mutants. Parce que oui ! Avant toute chose, le roman de Manon nous embarque dans une aventure digne des X-men, digne d’un véritable Marvel ! Malgré tout ne vous attendez pas à rencontrer l’adorable professeur Xavier dans ce roman. Nous découvrons en premier le jeune Nathan, 14 ans, petit génie de l’informatique, qui est absorbé par une de ses découvertes majeures sur le net, une découverte qu’il a fait en hackant (je ne sais pas réellement si ce mot existe, vos avis ?) le service de psychiatrie où son cousin est interné. On tombe très vite de haut, l’auteure nous abat ses cartes dès les premières pages en nous sortant le grand jeu, et là, je ne peux pas vous en dire bien plus ! Toujours en est-il que c’est remarquablement tourné ! Nous finissons donc par découvrir que notre petite troupe de personnages principaux ne sont pas des enfants singuliers. Chacun possède une petite particularité qui les met en danger. Morgane, Izia, Samuel et Timothée, tout en ayant leur acolyte perpétuel, Nathan.
L’auteure nous met en haleine sans pour autant nous en dévoiler trop dès le début. Tout au long de la première partie de l’intégrale (qui est donc en réalité le premier tome) nous avons surprises sur surprises et l’épisode final met un point d’honneur à nous déstabiliser ! Le second tome est différent, trois ans après, les protagonistes ont 17 ans, ils se trouvent tous dispatché dans la France, l’une à Paris, l’autre à Bordeaux, certains dans des endroits dont nous ne connaissons pas le lieu. Il y a un grand mystère autour du financement des expériences faites sur les « enfants mutants », ils sont connus du grand public, une émission de « télé-réalité » diffuse leurs portraits mais très vite les protagonistes sont appelés à se rassembler.
Il y a tout de même un point qui me chiffonne, la maman de Morgane est un élément presque central et incontournable du premier tome, on se pose énormément de questions autour d’elle. Et là, elle est inexistante au second tome, nous n’avons pas la suite logique (sauf si j’ai loupé un épisode, c’est le souci de lire la nuit, mais quand même !). Du coup c’est le seul petit point sombre à mes yeux.
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